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arnol encomendero davalos


ARNOLD ENCOMENDERO DÁVALOS


Ex Membre Titulaire du Conseil Consultant (Conseil d'Administration) de la ACI
AMERIQUES 1995-2009

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Directeur de la Revue Internationale “AMERIQUE COOPERATIVE”

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Actuel Directeur Général de COOPETROPERU, siège à Lima-Pérou

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Auteur de 5 Livres de Recherche Professionnelle Appliquée au Développement Coopératif et à l'Économie Sociale

BIBLIOGRAPHIE:

BOOK Ake "Valeurs Coopératives pour un Monde qui Change", (“Valores Cooperativos para un Mundo en Cambio”). Ed. ACI Octobre 1996

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Mackpherson Ian “Déclaration sur l'Identité et les Principes Coopératifs", ("Declaración sobre la Identidad y Principios Cooperativos”). ICA Manchester 1995.

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OIT "Recommandation 193 sur la Promotion des Coopératives" (“Recomendación 193 sobre Promoción de las Cooperativas”) ACI AMERICAS 2002.

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North Douglas "Cadre Institutionnel pour le Développement Économique" (“Marco Institucional para el Desarrollo Económico”). Édition Apoyo Lima Pérou 1995.

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Rodrígues Roberto "La Deuxième Vague Coopérative" (“La Segunda Ola Cooperativa”). 2001

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Encomendero Arnold. "L'Économie de Marché et le Défi des Valeurs Coopératifs" (“La Economía de Mercado y el Desafío de los Valores Cooperativos”). 3ème Édition Nov. 2010. Lima Pérou.

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Arnold Encomendero Dávalos
Et aussi dans: www.arnoldencomendero.com

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CONTACT PAR E-MAIL:
:jencomendero@yahoo.es

 
 
 
 
 
 
que deben hacer los jovenes para tener una vida mejor
 
DR. ARNOLD ENCOMENDERO DÁVALOS

Pour un jeune qui croit en Dieu et qui est amoureux de la paix, il n’est pas facile de comprendre pourquoi les anciennes générations n’ont pas étés capables de définir et d’appliquer les politiques et les stratégies de développement qui auraient pu éviter de nous transmettre, à la fin du premier millénaire, un héritage humain et social indigne, injuste et lapidaire. Dans le monde, mil-deux-cent-millions de personnes subsistent avec moins de deux dollars par jour; huit-cent-millions souffrent de dénutrition; cent-cinquante-trois-millions de filles de moins de cinq ans ont un poids insuffisant; soixante-trois-millions d’enfants et cent-quatorze-millions d’enfants en âge scolaire élémentaire ne sont toujours pas inscrits à l’école; onze-millions d’enfants de moins de cinq ans meurent chaque année; cinq-cents-mil femmes, soit une par minute, meurent lors de l’accouchement ou lors de complications dues à la grossesse; le VIH/SIDA augmente rapidement; deux-mil-quatre-cent-millions de personnes n’ont pas accès à de meilleurs services d’assainissement. D’un autre côté, les engagements d’augmenter l’aide au développement économique avec une inclusion sociale, assumés par les pays développés, n’ont pas encore été tenus. Parallèlement, la dette des pays en voie de développement, étouffée par une autre crise économique mondiale, reste chaque fois plus difficile à payer, empêchant ainsi une coexistence pacifique efficace digne d’une humanité civilisée.

A ce sujet-là, le Secrétaire général de l’ONU, BAN-KI-MOON, inquiété par la réalité humaine des jeunes, a exprimé : « Si en 2009 le chômage mondial des jeunes a atteint un record annuel d’environ 75.8 millions de jeunes au chômage, il correspond, en 2012, à la plus grande génération de chômeurs de tous les temps »; pire encore, si l’on tient compte du fait que la crise économique mondiale, qui touche surtout les Etats-Unis et la Zone Euro (avec des taux de chômage élevés) a eu le plus de répercussions sur les jeunes. Par exemple, en Espagne et en Grèce, il existe plus de 50% de jeunes au chômage, et les taux sont arrivés à 30% pour le cas du Portugal et de l’Italie. Cette situation angoissante pourrait créer, selon les experts, une « génération perdue » et provoquer un coût humain très élevé dans les années à venir.

Puisque les chiffres en disent bien plus que les mots, on peut dire que «plus d’UNE sur SIX personnes au monde comptent entre quinze et vingt-quatre ans, ce qui représente environ mil-deux-cent-millions d’adolescents et de jeunes. Malgré cela, ce sont ceux qui reçoivent le MOINS de considérations de la part des analystes politiques, des bailleurs de fonds, et des académiciens. Cependant, un nombre de huit-cent-quatre-vingt-millions de personnes âgées de plus de soixante ans reçoivent bien plus d’attentions. » C’est pour cela que les jeunes provenant des quatre coins du monde se sentent exclus et frustrés, et qu’ils exigent un changement du système politique et économique. Ils voudraient que ce changement fasse ECHO avec leurs aspirations (totalement compréhensibles) à avoir une égalité des chances en matière d’emploi. Si les gouvernements en place ne créent pas de conditions propices au développement plus favorable des jeunes, le risque d’une instabilité politique et sociale se verra accéléré par les fréquentes protestes et conflits sociaux qui se mesurent à leur indignation impétueuse.
Nous avons tous témoigné, avec stupeur et regret, du concert tapageur provoqué par les marches et les protestations des indignés en Espagne, le Wall Street, le Printemps Arabe, le mouvement « Yo Soy 123 » (Je suis le 132e) au Mexique, ainsi que les Caravanes de la Paix qui luttent contre le commerce des armes « Made in USA », et la Marche pour la Paix « ¡Basta Ya de Asesinatos!» (Stop aux Assassinats!) au Porto Rico. Mais, ce qui reste certain, c’est que ce torrent de réclamations n’a eu pour réponse que de simples réformes, des révolutions sur papier et des promesses qui n’ont jamais été tenues. Toutes ses réactions contre des témoignages de méchanceté, des violences mortelles, des idéologies rétrogrades et extrémistes, et des abus impunis, ne peuvent qu’être logiques. Nous en avons tous assez des politicailleries démagogues et injustes, des spéculations financières qui ne s’arrêtent jamais et qui sont la cause d’une crise sur une autre, des religions élitistes et conformes, sans parler des grands malheurs qui conforment un héritage social malsain, injuste, et dangereux, pour les jeunes provenant de toutes les couches sociales sur la planète.

Nous savons que le défi de construire un monde meilleur nous concerne tous. Nous désirons tous vivre en paix, en liberté, avec justice, et avoir une vie saine. L’Etat et les gouvernements en place ont la responsabilité de formuler les politiques publiques dans le but d’arriver à une meilleure institution démocratique, ainsi qu’à un investissement infrastructurel effectif, et à une innovation technologique. De plus, c’est à eux de promouvoir le développement en paix, avec des emplois productifs réels dans lesquels la productivité joue le rôle principal de la compétition responsable. Cependant, les jeunes ont eux aussi la responsabilité de s’organiser. Ils doivent commencer par le MOI INTÉRIEUR afin de construire, dès à présent, un meilleur futur, qui ait un PLAN DE VIE claire et ordonné, tout en réveillant le LIEDER qui se trouve dans chacun d’eux. L’objectif est de convertir l’horizon du progrès en horizon personnel et familial, en remplissant toutes nos obligations ainsi qu’en respectant les droits de chacun avec conviction.

Nous avons besoin de citoyens aux ESPRITS OUVERTS et aux OBJECTIFS ELEVES, capables de faire les « choses simples de façon extraordinaire ». Des gens adroits pour établir des objectifs qui puisse LES DISTINGUER PARTICULIEREMENT et pour travailler avec des méthodes avantageuses aux résultats positifs et utiles pour la famille, l’entreprise et toute la communauté en général. Il faut tout cela afin de pouvoir faire face au monde complexe, incertain, agité, mais aussi globalisé qui se pose devant nous.
Le défi est grand. Devant nous se tient la responsabilité de trouver de meilleures solutions pour nous faire participer activement au processus social. Celui-ci devrait pousser les jeunes à y mettre leurs talents et toutes les énergies nécessaires afin de contribuer à éveiller les esprits et à repérer les meilleures initiatives. C’est comme ça, en partant du monde intérieur de chacun, qu’on pourrait en faire des plans, des programmes, des projets, et des actions viables au développement, comme une espèce d’acte de foi et de responsabilité sociale. A propos, permettez-moi les amis, de partager avec vous une histoire enrichissante afin d’en tirer une leçon. Celle-ci s’est déclarée dans l’un de mes REVES. Il se trouve que lorsque je me trouvais dans un état semi-conscient, angoissé par une ambivalence sentimentale occasionnée par les fêtes de Noël, un merveilleux REVE qui dépasse mon propre intérêt personnel s’est emparé de mon esprit. J’étais en plein milieu du brouhaha de Noël, qui a aussi bien affecté les riches que les pauvres, en plein milieu d’un mélange polémique qui a mis en relief la phrase PAIN POUR LES UNS ET FAIM POUR LES AUTRES. Ce rêve représente le meilleur des cadeaux de Noël que j’ai reçu jusqu’à présent. Mais puisqu’il s’agit d’un RÊVE personnel, qui intéresse plusieurs personnes et surtout celles qui se battent pour vivre dans un monde en paix, je vais le partager avec vous.

« J’ai rêvé que tous les jeunes pauvres s’étaient réunis à la Basilique Saint-Pierre, à Rome, pour Noël 2004. Ils avaient demandé au Pape Jean-Paul II d’intercéder devant Dieu afin que, grâce à son omniscience divine, le SOLEIL éteigne sa lumière à partir de minuit, le 29 juin 2006, pour que dans le ciel n’apparaisse que le message lumineux suivant: Comme réponse aux prières des jeunes pauvres du monde appelant à l’arrêt de la violence, des injustices et des débauches, tous les citoyens du globe ont l’obligation de s’engager, de façon responsable, à signer un PROGRAMME HUMANITAIRE POUR LA VIE ET POUR LA PAIX, tout en assumant un compromis personnel. En échange, la lumière du jour réapparaitra ce jour-même. De plus, chaque citoyen, à l’endroit précis où il se trouve, devra faire une lecture des Dix Commandements de la Loi de Dieu à haute voix, trois fois par jour; ainsi que, de façon complémentaire, deux fois ce jour-là, une lecture des Objectifs du millénaire pour le développement et les buts qui ont été définis à ce sujet-là pour le cas de chaque pays de l’Amérique latine. Une fois ces deux tâches-là exécutées, et pour prouver un changement des mentalités envers la défense de la vie, la dignité humaine, la propriété, et la justice, les jeunes devront prendre en charge le compromis universel de garantir que tous les pauvres jouissent du droit à avoir tout au moins du PAIN, un TOIT et du TRAVAIL : une trilogie humanistique convoité pour bien se sentir et mieux vivre entre tous les habitants du monde.»

Depuis la profondeur de mon âme, je me suis écrié «Mais quel superbe message!» Néanmoins, comme les REVES NE RESTENT QUE DES REVES, il faut se demander : Que peut-on faire pour qu’à partir de ce rêve tous les jeunes définissent leur besoins les plus immédiats et concrétisent en même temps le compromis de construire, dès à présent et pour toujours, un monde qui soit plus juste, plus prospère et plus équitable?. «D’extraordinaires réalités seront atteintes si l’on met en commun les rêves et les actions», a déclaré le conférencier mexicain Miguel Angel Cornejo. Bien sûre, il est vrai que les rêves ont besoin de réalités immédiates pour qu’ils apportent un sens à la vie humaine. L’histoire de la vie sociale est écrite de façon très inhumaine, façonnée par les humains contre les humains. Il est conseillé et correct de rêver, mais aussi d’agir et de transformer; de savoir écouter, de dialoguer, de s’opposer, de tolérer, de négocier, de concrétiser, d’aboutir à un compromis, de s’accorder. Il n’y a que comme ça que l’on peut ETRE, AVOIR et PARTAGER. Si les jeunes apprenaient ensemble à dialoguer, tolérer, aboutir à un compromis et partager, le monde serait d’autant plus humain et les nouvelles générations disposeraient d’une meilleure qualité de vie.

 
que exigen los jovenes a los gobernantes

1.- Faire tenir leurs promesses aux présidents en place et qu’ils remplissent les attentes de leurs partisans et de leur peuple. Les politiques de l'Etat doivent correspondre aux aspirations des citoyens pour qu’ils vivent dans un milieu pacifique, solidaire et équitable, dans lequel ils puissent exercer leur droit démocratique, tout en ayant des bénéfices en commun.

2.- La réussite de la part des programmes du gouvernement, non seulement de la stabilité macroéconomique, mais aussi de l’application d’une politique économique et sociale générant des opportunités d’embauche, tout en encourageant la micro et la petite entreprise à travers le financement et l’assistance technique pour qu'elles développent leur imagination stratégique et leur capacité de réalisation patronale avec efficience et efficacité. Il faut former une RÉGION D'ENTREPRENEURS authentique.

3.- L’exercice sincère et honnête du DIALOGUE SOCIAL de la part des politiciens, en mettant surtout en avant les intérêts principaux de la patrie et non ceux de leur parti ou groupe politique.

4.- La formulation d’un PACTE entrainée par les entrepreneurs, les ouvriers et l'Etat, pour permettre un développement pacifique avec des lois relatives au travail justes et égales, comprenant ainsi, de façon concrète et responsable, que l’existence d’une meilleure et plus grande production de qualité aurait aussi de meilleures rémunérations et de meilleures conditions de travail.

5.- La promotion de la part des intellectuels de la culture, de l'art et de la littérature, avec des messages constructifs et pratiques, formant des consciences libres et lucides qui soient capables d'encourager une pensée critique et créative et qui se convertissent ensuite en actions transcendantes.

6.- Apprendre aux élèves à utiliser la raison, la connaissance technique et les valeurs pour que l'apprentissage individuel et collectif ait des effets synergiques en conséquence à l’enseignement par la parole et par l'exemple.

7.- La promotion de l'amour pour Dieu de la part des églises catholique et protestantes, en tenant compte non seulement des idées et des rites de célébration religieuse, mais aussi à travers des actes constructifs, en faisant attention à ne pas confondre, à travers les discours et les gestes, ni les enfants, ni les jeunes se trouvant en plein processus d’apprentissage et de formation humaine.

8.- Le non-autoritarisme, le non-machisme, et le non-féminisme extrême des parents et la suppression de toute sorte de violence qui puisse blesser la vie familiale ou contribuer au chaos social.

9.- L’information et la formation véridique des moyens de communication. Il est nécessaire qu’ils consacrent plus de temps à la culture, à l'art et aux valeurs. Ils doivent oublier le sensationnalisme et le scandale qui rendent difficile les relations humaines, qui voilent la cible, et qui détruisent la vie des enfants et des jeunes.

10.- L’accès, permit par les organisations non lucratives (par ex. Coopératives, associations et entreprises), des jeunes hommes et femmes aux postes de direction et de leadership, tout en respectant, à tous les niveaux, la démocratie participative.

 
que exigen los jovenes a los gobernantes

1.- Croire en ce qu'on veut et être sûre de soi-même.

2.- Avoir un bon état d'esprit et donner le meilleur de soi pour que les autres en fassent pareil.

3.- Prendre soin de la santé physique et mentale et respecter la santé des autres.

4.- Economiser lorsqu’on nage dans l’abondance pour dépenser lorsqu’on est en manque.

5.- Etre déterminé avec nos propres idées ou les idées conçues avec les autre pour concevoir et rendre concret un projet viable et rentable.

6.- Etre loyal et transparent chez soi, à l’école, à l’université et dans la communauté dans laquelle nous vivons. La loyauté crée des liens qui contribuent à une vie meilleure, en paix!

7.- Nous former pour arriver au succès et avoir ce que l’on veut, pour ensuite partager nos exploits, en étant justes. Enseigner à travailler correctement, pour que tout le monde ait un métier digne!

8.- Aimer la paix et respecter les droits tels que la vie, la liberté, et le bien-être, auxquels nous devrions tous avoir accès. «Pacifier la vie et bien se sentir en liberté» est le rêve doré de l’humanité souffrante!

9.- Participer aux journées de la paix, au développement de la communauté, à la gestion coopérative et aux programmes volontaires pour faire de la vie de tous, une vie plus humaine.

10.- Protester avec modération et dignité. Savoir écouter pour pouvoir être écoutés. Faire du DIALOGUE SOCIAL une arme de CONSENSUS pour le bien-être commun.

11.- Se rendre utile à la société grâce à notre métier ou profession. Se mettre à la place des nécessiteux qui ont le droit de vivre en paix.

12.- Faire de la solidarité humaine un acte honnête et juste pour le profit de tous. Une personne avec les autres devient un autre. C’est en restant UNIS que nous VIVRONS tous mieux!

 

Je sais qu’il est difficile de trouver des réponses effectives qui fassent face à l’étendu des problèmes humains, sociaux, économiques, politiques et écologiques et qui, selon les mots de Nouriel Roubini, sont aggravés de nos jours par les ravages de « la tempête économique-financière parfaite». Ceci dit, que ce soit peu ou beaucoup, il faut faire quelque chose. Premièrement, nous devons « DEVENIR PLUS HUMAINS ». Le biotechnologue français Pierre Lacoste nous a dit que « L’humanité c’est tout, et mis à part elle, il n’y a pas d’autre bon espoir ». Nous devons réagir dès maintenant!…….. Le côté humain de la vie l’exige ainsi.

La responsabilité nous appartient tous. Il y a beaucoup à apprendre des vieillards et des adultes. D’un autre côté, les enfants et les jeunes ont encore beaucoup à apprendre. Cependant, nous devons tous définitivement donner, et non pas seulement exiger. Nous ne devons pas uniquement nous préoccuper, mais aussi nous occuper. Pour conclure, c’est seulement à condition que les jeunes soient de bons enfants et de bons frères et sœurs, qu’ils seront de bons citoyens utiles à leur pays et dignes d’un future heureux ; et ce serait mieux encore, si on y arrive pacifiquement. Notre MISSION est difficile, mais possible. Grâce à une vision claire et consciente de la réalité qui nous entoure, l’horizon lointain du progrès en sera d’autant plus familier. Il n’est jamais trop tard pour commencer cette belle et formidable tâche: construire un monde plus heureux et plus égalitaire.

A ce sujet-là, le message du poète Eduardo Galeano a été très illustratif lorsqu’il s’est posé la question suivante : « A quoi sert l’utopie ? ». - L’utopie, c’est comme l’horizon : je m’en approche de DEUX pas puis il s’éloigne de DEUX pas. Je fais DIX pas, et l’horizon recule de DIX pas. Ceci dit, « à quoi sert l’utopie? », s’est-il demandé à nouveau. ELLE SERT A MARCHER, fut sa conclusion catégorique. Il est vrai que pour conquérir le FUTUR nous devons accomplir des faits transcendants en faisant les choses simples de façon correcte. Ce n’est pas pour rien que JEAN PAUL II a dit «LES UTOPIES D’AUJOURD’HUI, SONT LES REALITES DE DEMAIN.»

Ce qui importe, c’est de commencer et de continuer. Ce n’est que pendant la route que nous nous ajusterons aux circonstances!

 
 
 
 
 
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